Devant une ville mauve, six arbres volontairement circulaires, afin de rompre l’ensemble composé de carrés et de rectangles, apportent de la fraîcheur à l’ensemble (août 2011). Cette toile a figuré, en juillet 2015, sur l’affiche d’un colloque à Paris, intitulé « Transitions urbaines au prisme du changement climatique ». Acrylique 80 x 80 cm.
Les habitants de cet immeuble doivent être très contents de voir le printemps en train d’exploser, avec ses arbustes qui prennent une tenue de fête. Il y a quelques roses heureuses de s’épanouir (avril 2011). Acrylique 65 x 80 cm.
Au bord de champs fleuris de colza et de coquelicots, une forêt commence à s’étendre, mystérieuse, aux côtés d’un village assoupi de chaleur (novembre 2010). Acrylique 60 x 81 cm.
Cette toile, abstraite, évoque une promenade au milieu des buissons fleuris et odorants. Au-dessus de ce fouillis végétal, quelques nuages se promènent dans le ciel, eux aussi colorés de chaleur (septembre 2010). Acrylique 65 x 92 cm.
Une petite commune rurale, avec bien sûr son clocher, se trouve au milieu d’un enchevêtrement d’une végétation ondulante assez étrange (novembre 2009). Acrylique 50 x 61 cm.
Dans ce décor de montagnes, tout semble paisible, même le ciel timide, voilé de jaune. Mais dans ce paysage de rêve, un immeuble s’en va à la conquête du ciel, avec ses multiples étages et sa fragilité (mai 2010). Acrylique 65 x 92 cm.
Voilà une belle plage, plus exactement celle du Touquet, avec au fond la présence d’un complexe hôtelier, bien sûr en opposition avec l’image du sable et de la mer (avril 2002). Huile sur toile 50 x 65 cm.
Paris semble sommeiller dans des teintes claires. Par contraste, un ciel vermillon écrase ce paysage citadin. Et tout en haut de la toile, un nuage domine l’ensemble, en tournant curieusement en rond (mai 2005). Acrylique 65 x 81 cm.
Des immeubles figurent sur cette toile, avec leurs ramifications habituelles et la présence d’un petit clocher. En premier plan, les maisons sont rouges, de façon à figurer une perspective (mai 2003). Acrylique 70 x 70 cm.
Quel curieux mariage que ce champ où ne poussent que des coquelicots avec une ville voisine ! Des immeubles se chevauchent et se diffusent dans la brume. Derrière, une forêt se laisse deviner (mai 2003). Acrylique 60 x 60 cm.
